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Écrivains et politiciens, ces héros... de polars et de science-fiction

Après Oscar Wilde et Jane Austen, devenus héros de polars à leur insu, voici que Voltaire et Freud se lancent à leur tour dans l'investigation policière et que H.G. Wells part à la poursuite de Jack l'éventreur dans l'espace temps. Parallèlement, Mark Twain et Abraham Lincoln chassent les vampires, tandis que la Reine Victoria s'attaque aux zombies. Avant eux, Lord Byron, Denis Diderot, Sir Arthur Conan Doyle ou Jean de La Fontaine étaient déjà passer de l'autre coté du miroir. Combien d'autres encore ? Cafeduweb a mené sa petite enquête dans le monde littéraire.

Turpitudes - Olivier Bocquet

Ce thriller est né d'une initiative originale puisqu'il le manuscrit a été sélectionné grâce au vote des internautes, dans le cadre du concours Thrillermania, organisé par les éditions Pocket et le site web evene.fr. Concernant son auteur, on ne saura pas grand chose si on se fie à la biographie insérer en première page du roman, en dehors du fait qu'Olivier Bocquet « vit dans la fiction » et qu'il ne faut pas croire tout ce qu'il dit. S'agit-il d'une pirouette pour s'affranchir de ce roman s'inspirant de faits divers "authentiques" survenus dans la bonne ville de Fontainebleau en décembre 2003? Le mystère est savamment entretenu, d'autant que, dans un premier temps, l'auteur se cache derrière un pseudonyme et refuse de dévoiler jusqu'à son visage.

Le vieux qui lisait des romans d'amour - Luis Sepulveda

Je profite de la parution prochaine du livre de Luis Sepulveda, Dernières nouvelles du Sud, et de sa visite en France en mai prochain, pour revenir sur son chef d’œuvre Le vieux qui lisait des romans d'amour. Cet opus dédié à l’écologie, est un chef d’œuvre du genre. Loin d’être une sorte de roman-pamphlet ennuyeux, c’est un petit bijou d’écriture, une véritable leçon de vie que l’on dévore en quelques heures.

Le Camel club - David Baldacci

Editions Belfond, 2007, 485 pages
"Le Camel Club" inaugure la série du même nom qui compte quatre romans ("Le Camel Club", "Les collectionneurs", "Stone Cold" et "Divine Justice") dont deux ont été traduits en français à ce jour.

7 jours à River Falls - Alexis Aubenque

Contrairement aux apparences, il ne s'agit pas d'un roman américain. Alexis Aubenque, qui est français, a travaillé plusieurs années en librairie avant de se lancer dans l'écriture de romans de science-fiction puis de thrillers. Son second polar, "Un automne à River Falls" est paru en juin dernier chez Calmann-Levy.

Un pays à l’aube - Dennis Lehane

Le monde éditorial a ses codes (qui répondent à des objectifs commerciaux) et il n'aime guère qu'on les chamboule. Ainsi, lorsqu'un Cormac McCarthy, écrit un roman de science-fiction (La Route), son éditeur préfère le publier sous une couverture blanche, plus prestigieuse que la grise réservée à la SF (à ce sujet, je vous recommande l'article de David Barnett, paru sur le blog du Guardian, l'an dernier). De la même façon, Un pays à l'aube, roman dédié à la grève des policiers de Boston en septembre 1919, est paru dans la "collection noire" des éditions Rivages. Dennis Lehane, labellisé auteur de polars, est donc condamné à le rester, en dépit des qualités historiques incontestables de son dernier ouvrage (cela dit, il paraît que les romans historiques n'ont pas bonne presse chez les critiques littéraires).

Le marché éditorial français vu de l'Australie

Le 15 novembre dernier, la romancière franco-australienne Sophie Masson a publié, sur le site On Line Opinion, un article comparatif de l'industrie éditoriale de ses deux pays. Je ne vais pas en résumer l'intégralité mais seulement retenir quelques chiffres qui donnent une idée assez précise de la situation dans l’Hexagone.

Les romans historiques de la rentrée 2011

A priori, un roman historique est un récit fictif dont le contexte s'inscrit dans une réalité historique. Dans les faits, les critères de classement sont plus subjectifs, puisque certains livres sont considérés comme plus "littéraires" que d'autres et que cette notions est particulièrement floue (l’œuvre est-elle plus aboutie ? L'écriture plus créative ? L'utilisation des sources plus rigoureuse ?). C'est la raison, sans doute, pour laquelle, peu d'élus sont plébiscités dans les médias, notamment en cette période de rentrée littéraire.

Maman, les petits livres...

C'est une banalité de dire que dans nos sociétés il importe d'être toujours le premier en tout. Le monde littéraire n'échappant pas à la règle, les éditeurs, les libraires et les journalistes commandent des tas d'études statistiques et établissent continuellement des classements. Il s'agit de savoir qui vend le plus de livres et combien temps l'heureux gagnant se maintient en tête de liste. Ainsi, il en vendra encore plus. La littérature de jeunesse est également soumise à la dictature du bestseller. Parallèlement, les éditeurs ont inventé un nouveau concept : la littérature "crossover" (littéralement mélange, croisement), des romans s'adressant à la fois aux enfants et aux adultes.

Après la mort de la littérature française, l'hécatombe mondiale ?

Tout le monde se souvient du vent de fureur qui a secoué le monde littéraire français en 2007, quand que le journaliste américain Donald Morrison a décrété « the Death of French culture », à la Une de l'édition européenne du Time. Les prémices du sinistre s'étaient pourtant déjà fait sentir en 2002 avec le pamphlet de Pierre Jourde, dénonçant la littérature sans estomac. Il est vrai qu'il est moins grave de se zigouiller entre soi (mais c'est une autre histoire). En juin dernier, après la publication de la fameuse liste des « 20 under 40 » (20 meilleurs romanciers de moins de 40 ans) du New-Yorker, le journaliste américain, Lee Siegel a déclenché un nouveau séisme en annonçant dans le New York Observer que le roman est un genre moribond.

L'art de lire lentement ou pas du tout

Ainsi que le souligne Le Temps, la rentrée littéraire défie toutes les lois économiques et sociales. Cette année, les éditeurs battront le record de la décennie avec plus de 700 nouveautés publiées. Les 15% de Français qui lisent plus de 20-25 livres par an, pourront toujours aller défier quelques blogueurs en participant au challenge du 1% littéraire, avaler leur PAL (Pile à Lire) à toute vitesse, voire celles des autres grâce aux swaps (échanges). Si vous préférez « bien lire », vous apprendrez les vertus de la lenteur, défendues par Friedrich Nietzsche dans sa préface d'Aurore. Enfin, si vous faites partie des 70% de mauvais élèves qui achèvent difficilement un opus dans l'année, il va falloir trouver une parade pour briller dans les dîners en ville.

Le Club de lecture de Barack Obama

En France, nous avons des politiciens qui écrivent des essais et des romans (de Malraux à Jean-Louis Debré, en passant par Jack Lang). On se souvient des polémiques qui ont suivi la parution de La princesse et le président de Valéry Giscard d'Estaing ou La mauvaise vie de Frédéric Mitterrand. Les Américains, eux, ont Barack Obama, auteur des Rêves de mon père et de L'audace d'espérer. Le 44e président américain est également un lecteur assidu qui, d'un commentaire élogieux, peut faire envoler les ventes d'un livre tel que Netherland de Joseph O'Neill. Chaque année, les porte-paroles de la Maison Blanche, chargés d'entretenir l'image du président, délivrent la liste de ses lectures estivales.

Du sang sur la toile - Miyuki Miyabe

Selon son éditeur français Philippe Picquier, Miyuki Miyabe serait la reine du polar japonais. En réalité, l'intérêt de cette romancière populaire pour la littérature de genre englobe la science-fiction, le roman historique et la littérature de jeunesse.

On prévoit un été sombre et polaire

Le 6 mars dernier, Telerama a publié les résultats d'une étude frôlant le scoop: « le crime paie enfin ». Cela signifie que les éditeurs s'apprêtent à lancer, comme chaque année, une audacieuse campagne printanière en faveur du roman policier. En juin, les revues littéraires publieront des dossiers présentant un panorama des incontournables et des "nouvelles tendances". Le concept du NPN (Nouveau Polar Nihiliste) qui avait tant ému l'an dernier restera au placard, mais les éditeurs continueront de surfer sur la vague Millénium. Les policiers suédois se verront donc attribuer une place de choix sur les serviettes de plage... et on trouvera sans doute encore quelques Dan Brown à l'ombre des parasols.

Jean-François Parot, Jean D'Aillon et vice versa

Ils ont pratiquement le même age et le même prénom, ils sont tous deux férus d'histoire, ils ont créés deux célèbres héros de romans policiers, ils publient chez le même éditeur, et ils ont commis autant de best-sellers... Jean-François Parot ("Le noyé du grand canal") et Jean d'Aillon ("La guerre des amoureuses" et "La ville qui n'aimait pas son Roi") ont publié simultanément de nouveaux titres cette année.

James Patterson, écrivain ou marque de franchise ?

James Patterson, publie en moyenne 9 livres par an, qui sont traduits dans 38 langues. Bien que cette petite entreprise lui rapporte déjà 60 millions de dollars par an, l'auteur de romans policiers envisage de se diversifier en recrutant, non plus de simples "co-auteurs", mais des écrivains associés afin de créer une sorte de franchise internationale. Ainsi, au lieu de faire l'objet d'une banale traduction, les différents épisodes de sa nouvelle série seront déclinés en plusieurs versions.

Sauver sa peau - Lisa Gardner

Lisa Gardner fait parti de ses auteurs de Best-sellers qui commettent au moins un livre par an. Elle est l’auteur de deux séries policières, sans compter les "Standalone" (les polars autonomes) et les romans qu’elle publie sous le pseudonyme d’Alicia Scott. Après Disparue, un épisode tiré de sa série consacrée à une équipe de profileurs du FBI de l’Oregon, j’ai finalement décidé de récidiver et de m’intéresser cette fois à celle consacrée aux flics de Boston : l’ancien tireur d’élite Bobby Dodge, nouvel recrue de la police d’état, et son ancienne petite amie, le commandant D.D.Warren, qui dirige une équipe de détective de la police municipale.

Le camp des morts - Craig Johnson

Nous avons abandonné pour un temps Joe Pickett, le héros récurrent des polars de C.J. Box, pour suivre les aventures d’un autre détective fameux du Wyoming. Il s’agit du personnage créé par Craig Johnson, Walt Longmire, shérif dans le comté d'Absaroka. La série compte à ce jour 8 épisodes, dont 4 traduits en français : The Cold Dish (Little bird en version française), Death Without Compagny (Le camp des morts), Kindness Goes Unpunished (L'Indien blanc), Another Man's Moccasins (Enfants de poussière), The Dark Horse, Junkyard Dogs, Hell Is Empty et As the Crow Flies (à paraître cet été aux États-Unis).

Le syndrome picard - Daniel Auna

Après les romans policiers de Léo Lapointe, d'Hervé Jovelin et de Johann Moulin, nous voici de retour en Picardie, et plus précisément à Saint-Quentin dans l'Aisne où sévit le « célèbre commissaire Simon », un flic d'origine parisienne. Il s'agit ici du troisième volet de ses aventures après Enquêtes à Saint-Quentin (Ravet-Anceau, 2008) et Angoisses saint-quentinoises (Ravet-Anceau, 2010).

Charly 9 - Jean Teulé

Ceux qui connaissent déjà Jean Teulé à travers Le Montespan ou Mangez-le si vous voulez, ses livres précédents, savent qu'il n'écrit pas des romans historiques convenus glorifiant notre flamboyant passé. Jean Teulé n'est pas un conteur dont les récits seraient peuplés de personnages raffinés, d'élégants palais ou de fêtes fastueuses. Les rois de France sont dégénérés, les gens de cour sont vulgaires, le Louvre est sale et vétuste. Jean Teulé n'est pas non plus un historien tatillon se piquant de relater les hauts faits de nos ancêtres, les grandes batailles et autres évènements édifiants qui peuplent les manuels scolaires. Il préfère visiblement fouiner dans les coulisses putrides de l'histoire et la mauvaise conscience de ceux qui l'ont faite.

Le Cimetière de Prague - Umberto Eco

Le nouveau roman d'Umberto Eco décortique l'histoire d'un des plus odieux canulars que l'homme est jamais conçu, les fameux Protocoles des sages de Sion, qu'il avait déjà évoqué dans son Pendule de Foucault. Si le sémiologue italien a opté pour le mode fictif (à la manière des romans-feuilletons d'Alexandre Dumas ou d'Eugène Sue) et non pour l'écriture d'un essai, c'est en quelque sorte par mimétisme ou en référence à son sujet puisque l'auteur des Protocoles s'est inspiré de ce genre narratif.

Les 100 meilleurs romans historiques

Parmi les requêtes qui reviennent fréquemment dans le moteur de recherche de Cafeduweb, il y a les « meilleurs romans historiques ». C'est pourquoi nous avons établi une liste de 100 œuvres, dont les critères de sélection sont les livres récompensés par des prix littéraires, les bestsellers et les classiques. Nous les avons ensuite classés par périodes (Antiquité, Moyen-âge, etc). Ce type d'exercice étant forcément subjectif, nous avons éliminé certains romans pour des raisons toutes personnelles. En revanche, nous nous sommes attachés à favoriser une sélection cosmopolite d'écrivains.

Les meilleurs romans sur la préhistoire

Afin de compléter notre sélection de romans historiques (cf: Les 100 meilleurs romans historiques), nous avons décidé d'ajouter une rubrique dédiée à la préhistoire. Nous avons retenu les ouvrages dont l'intrique se situe au paléolithique ou au néolithique, ainsi que les livres qui ont un lien indirect avec la période qui nous intéresse.

22 novembre 1963 - Adam Braver

Depuis quelques temps, la tendance est aux romans s’inspirant de faits divers et dont la forme fourmille de détails journalistiques. Je pense entre autres à Jayne Mansfield 1967 de Simon Liberati, à Claustria de Régis Jauffret ou à Tout, tout de suite de Morgan Sportès. Dans la même veine, il y a donc le livre de l’américain Adam Braver, une chronique de ce fameux jour où le président John Fitzgerald Kennedy a été assassiné à Dallas au Texas.

Le Léopard - Jo Nesbo

Jo Nesbø fait parti de ces écrivains scandinaves qu'on ne présente plus (Stieg Larsson, Henning Mankell, Karin Fossum, Arnaldur Indridason, etc). Bien entendu, nous allons le faire quand même. Considéré comme le Roi du crime dans sa contrée natale, il est l'auteur de polars dont le héros récurrent est Harry Hole, un détective névrosé et alcoolique, comme il se doit dans le genre Roman Noir. La série compte déjà 8 épisodes, mais un neuvième (intitulé Fantôme, dans sa version originale) devrait paraître en juin 2011 en Norvège. Le Chasseur de têtes (2009), autre roman policier, ne fait pas parti du cycle. Jo Nesbø écrit également des livres pour enfants.

Olivier - Jérôme Garcin

Le 7 juillet 1962 Olivier le frère jumeau de Jérôme Garcin, traverse sous ses yeux la route en courant. Il est fauché par une voiture dont le chauffeur prend la fuite. Ils n’avaient pas six ans.

Le club du crime parfait - Andrés Trapiello

Le roman d'Andrès Trapiello a une couverture noire comme tous les livres labellisés romans policiers, son titre contient le mot crime et les personnages sont affublés de pseudonymes comme Sam Spade ou Philip Marlowe. Par ailleurs, ce n'est pas un assassinat, ni deux, ni trois qui nous sont révélés au fil des pages, mais des milliers. Car, il y a les meurtres qui nourrissent l'intrigue principale, les victimes de la guerre civile, qui se dévoilent en filigramme, et les crimes de papier, que nos héros se piquent d'analyser. En fait, Le Club du crime parfait n'est pas un véritable polar mais plutôt un roman sur le roman policier et une réflexion sur la vengeance.

Le prédateur – C.J. Box

Le prédateur est la huitième enquête de Joe Pickett, ancien garde-chasse de la ville de Saddlestring et travaillant pour le compte du gouverneur du Wyoming. Le héros de C.J. Box possède donc déjà un lourd passé auquel il est fait référence à plusieurs reprises. Néanmoins, il n'est pas nécessaire d'avoir lu les romans précédents pour s'y retrouver. La série compte déjà 11 épisodes en anglais dont le dernier, Cold Win, est paru en 2011. L'auteur a été récompensé par plusieurs prix littéraires, parmi lesquels le prestigieux Edgar Allan Poe Award qui récompense les meilleurs auteurs de romans policiers. En France, il a reçu le prix Calibre 38 pour Détonations rapprochées, le premier volume de la série.

Un joli petit coin pour mourir - Charles Exbrayat

Depuis l’assassinat de sa femme, Philip Rothesay, désespéré, a perdu le goût de vivre et démissione du MI5, bien décidé à se faire retrouver par le même assassin que celui qui tua Laura.

Comment devenir un meilleur lecteur en 2011

En ce début d 'année, de nombreux rédacteurs de blogs littéraires ont établis la liste de leurs bonnes résolutions pour 2011 (lire plus de classiques et d'essais, s'ouvrir aux littératures étrangères et de préférence en versions originales, réduire sa Pile à lire...), qui vont généralement de paire avec l'inscription à divers challenges (liste de lectures communes en fonction d'une thématique prédéfinie). Personnellement, je n'aime guère m'imposer des contraintes et je n'ai aucune envie de m'astreindre à une boulimie littéraire proche de la nausée. Ainsi que l'écrit Jules Renard (Journal 1887 / 1910, ed. Robert Laffont) « J'aime à lire comme une poule boit, en relevant fréquemment la tête, pour faire couler. »

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