L'homme qui plantait des arbres / Jean Giono.- ill. Willi Glasauer.- Gallimard Jeunesse, coll. Folio Cadet.- 2002. 58 pages
ISBN-13: 978-2070538805
Pendant ses longues promenades en Haute-Provence, Jean Giono a rencontré Elzéard Bouffier ; depuis l’année 1920, il ne resta pas une année sans rendre visite à cet homme qui ne doutait jamais de la nature, qui plantait et replantait à foison.
Belle et étrange variation sur le mythe d’Orphée. Ricardo Vacarezza, richissime estanciero argentin dans les années 30, était un homme qui se laissait vivre, attendant avec patience le moment d’épouser sa superbe fiancée, jusqu’à ce qu’il se mette à rêver.
Porté disparu ! Sœur Fidelma, en tant que sœur du roi de Cashel, est présente puisque sa condition d’avocate et de princesse lui permet d’assister aux débats. Colgù, le roi, son frère, lui demande d’enquêter sur l’agression dont lui et le roi venu en paix ont été victimes.
Ses dieux, ses héros, ses légendes
Ciel et terre ne sont pas l'ouvrage des dieux, mais par contre c’est la terre (Gaia) et le ciel (Ouranos) qui engendrèrent les Titans, les tout premiers dieux, parmi lesquels Chronos, Atlas, Prométhée et Ocean.
La Déesse-mère, la Terre, est celle par qui les hommes vivent, elle les nourrit, les abrite.
Jamais deux sans TROIE ! Le regard qu’Hélène porte sur sa famille est réellement méprisant, que ce soit ses deux frères qui pourtant l’aiment et la protègent, ou sa sœur Klytemnestre dont elle admire toutefois la force de caractère (relation qui diffère nettement d’avec la version de Margaret George pour qui les deux sœurs étaient unies par une sincère affection).
L’écrivaine fournit tant et plus de détails, lorsqu’un nouveau personnage apparaît dans le roman, parce qu’il y a sa place historiquement, le lecteur doit subir jusque dans les moindres détails l’histoire de sa vie, chapitres qui s’ajoutent à ceux du personnage principal. Ici, en l’occurrence Jules César.
Dans quel guêpier s’est fourré Eadulf le Saxon ? Il incombe donc à Fidelma de Cashel, religieuse, princesse et avocate, de faire la preuve de l’innocence de son ami. Il est évident que pour elle l’innocence du moine saxon ne fait aucun doute, mais elle retrouve en face d’elle deux anciens adversaires, trop heureux de pouvoir la contrer.
Viviane, Morgaine, Gwenhwyfar et les autres. L'histoire est entrecoupée par Morgaine, parlant à la première personne, pour conter le récit de son point de vue. L'amour qu'elle portait à son petit frère, Arthur mais aussi à Lancelot, son cousin.
Celle par qui le malheur arriva ! Elle vit donc entourée de sa sœur Clytemnestre et de ses deux frères, les inséparables Castor et Pollux ; elle apprend la tapisserie en compagne de sa mère, qui refuse qu’elle se regarde dans un miroir. Chacun semble réellement prendre à cœur que l’enfant n’ait aucune conscience de sa beauté, tout comme du secret de sa conception d’ailleurs.
Artiste médiocre mais faussaire de génie ! La vie jusqu’à présent n’a guère été tendre avec lui : élève peu brillant dans une école d’art, où il ne brilla pas vraiment par son originalité dans la section « peinture », jeune mari et soudain, bien trop rapidement, jeune père et jeune veuf, son épouse étant morte en mettant leur petite...