Londres, fin du XIXème siècle. Le peintre Walter Sickert fait l'objet d'un chantage concernant la relation de son meilleur ami le prince Albert et d'une marchande de confiserie. Craignant pour l'honneur de la couronne, la reine demande à Sir William Gull de faire cesser ce chantage quelqu'en soit le prix.
C’est fou comme on peut se priver de bien belles choses à cause de bêtes préjugés ! Pour ma part, je viens seulement de découvrir la série Powers, qui m’a été chaudement recommandée par un ami américain, passionné de comics.
Tous les motards de la planète ou presque connaissent cette série. Joe Bar Team c’est LA BD culte du deux-roues.
Figure locale du petit village de Saint-Aubin, le père Rabier est un vieil original qui a vécu une bonne partie de sa vie en Afrique où il officiait comme ingénieur agronome.
Sœur Marie-Thérèse est une nonne, mais certainement pas une "bonne sœur". Elle blasphème et jure comme un charretier ; picole et fume des pétards à longueur de journée ; fricote avec Jésus (le jardinier portugais) ; maltraite férocement vieillards lubriques, garnements récalcitrants et mères irresponsables…
30 minutes de calme, ça vous tente? C'est ce que je vous propose avec la lecture d'un album du Cadet des Soupetard. C'est la vision enfantine d'un petit village. C'est l'après guerre, tout le monde espère un monde nouveau et les gamins courent dans les rues comme toujours.
Difficile de donner un avis objectif sur cette bande dessinée, certes très originale, mais qui laisse au lecteur un fort sentiment de malaise (sans doute lié à la difficulté d'interpréter cette oeuvre; ce qui doit en revanche faire le bonheur des psychanalyses).
Woodlof – rebaptisé « Capitaine Wolf » –, Ambroise d'Aubert et El Gallio découvrent leur nouvelle existence de pirates. Le capitaine comprend bien vite que pour conserver son autorité sur la bande de pillards qui lui sert d'équipage, il va lui falloir mettre la main sur un butin digne de ce nom.
A l’occasion de l’exposition "Le Monde de Franquin" qui a lieu d’octobre 2004 à fin août 2005 à la Cité des Sciences et de l’Industrie, ce petit (beaucoup trop petit) recueil reprend des extraits permettant de découvrir ou de retrouver personnages et gags créés par un dessinateur et un poète d’exception.
L’éditeur crie au miracle ! Gotlib, lui, prétend qu’il a été menacé à la kalachnikov afin de signer l’autorisation de publier ces pages que le créateur de la Rubrique à Brac conservait chez lui, dans le but de les léguer à ses petits-enfants (c’est lui qui l’a dit).