Quel dommage de boucler une série - qui avait pourtant si bien commencé - avec un album aussi décevant ! Ça ressemble à de l'automutilation : une apothéose de scènes aguicheuses et de rebondissements à n'en plus finir tandis qu'à l'inverse, certains détails du scénario sont expédiés à la va-vite... On finit par se demander si Jean Dufaux n'a pas été à son tour victime d'une sorte de mutation génétique !
Depuis ses premiers coups de crayons, Enrico Marini rêvait de dessiner un western. Stephen Desberg lui a offert un scénario dédié à cette page mythique de l’histoire américaine: la conquête de l’ouest. C’est ainsi qu’est née, L’étoile du désert, bande dessinée en deux volumes qui met en scène l’univers brutal des pionniers, peuplé de brigands à la gâchette facile et d’esclaves indiennes qu’on enivre pour mieux les prostituer.
Cet opus nous ramène en 54 ap. J.-C, dans une atmosphère lourde de complots qui caractérise si bien la Rome antique.
13 octobre 54. L’empereur Claude est mort dans la nuit. Grâce aux intrigues d’Agrippine, Néron est prêt à monter sur le trône. Le Préfet du Prétoire Burrus, un agent à leur solde, a convaincu la plupart des soldats, tandis qu’une gratification substantielle permet de rallier les hésitants. Néron n’a plus qu’à paraître devant les Prétoriens enthousiastes pour être proclamé Imperator. Avec l’aide du philosophe Sénèque, ami intime d’Agrippine, l’acte de ratification du Sénat n'est plus qu'une formalité.
Britannicus, le fils de Claude et de Messaline, est mort. S’agit-il d’un empoissonnement ou d’une mort naturelle? Le doute persiste, mais Néron n’en demeure pas moins l’unique héritier de l’empire.
Matthew Montgomery est un homme "respectueux et respectable" qui n’enfreint jamais les règles... jusqu’à ce fameux soir d’hiver où la police retrouve les corps de sa femme et sa fille, violées puis sauvagement assassinées dans leur propre maison. A l’exception d’un étrange tatouage tracé au couteau sur l’un des corps mutilés, la police n’a aucun indice.
Quatre ans ont passé depuis la mort de l’empereur Claude et l’avènement de Néron. Entre le jeune César et sa mère se joue le dernier acte pour s’accaparer le pouvoir. L’un et l’autre sont prêts à tout pour arriver à leurs fins, même à la pire des ignominies. Et tandis qu’Agrippine s’apprête à ouvrir sa couche à son propre fils; l’ombre des crucifiés plane comme une menace sur l’empire.
L’écrivain Jean Failler en a marre ! Dégoûté par la procédurière et le procès ridicule qui suivit la parution du "Renard des Grèves" (procès que cette personne gagna, on se demande encore pourquoi !), l’auteur des aventures de Mary Lester a décidé de raccrocher. Suite à l’abondant courrier qu’il reçut, il confie désormais à Mary Lester le soin de...
Après quelques faits dits "historiques" à propos de cette "Femme Celte", Jean Markale aborde les différentes héroïnes de la culture celtique, telles que les légendes nous les rapportent : Dahud et le royaume d’Ys ; Rhiannon et ses oiseaux ; Gwenhwyfar (mieux connue sous la version anglaise de Guenevere, ou de Jennifer en anglais moderne) ;...... Blodeywedd ; Iseult et bien d’autres.
Depuis que l’écrivain Jean Failler a passé la plume à son alter ego littéraire, le capitaine de police Mary Lester est seule maître à bord de la rédaction de ses aventures.
Largo Winch, personnage créé par Jean Van Hamme dès 1973, est d'abord un personnage de romans (six tomes parus chez Mercure de France), puis de bande dessinée (17 tomes à ce jour, plus un paraître), de série télévisée (diffusée en France à partir de janvier 2001), de deux films, Largo Winch et Largo Winch 2 et de jeux vidéos. La bande dessinée est organisée en diptyques qui peuvent être lu séparément.
De Cape et de Crocs (tome 1:Le secret du Janissaire et tome 2:Pavillon noir) n´est pas une bande dessinée comme les autres. Inspirée par Contes et Racontars, un jeu de rôles inventé par Alain Ayroles et Jean-Luc Masbou, la série mélange l’univers du conte de fées avec celui de la flibuste. Le tout mit en scène d’une manière très théâtrale, qui n’exclue ni l’improvisation, ni l’humour.
L'homme qui plantait des arbres / Jean Giono.- ill. Willi Glasauer.- Gallimard Jeunesse, coll. Folio Cadet.- 2002. 58 pages
ISBN-13: 978-2070538805
Pendant ses longues promenades en Haute-Provence, Jean Giono a rencontré Elzéard Bouffier ; depuis l’année 1920, il ne resta pas une année sans rendre visite à cet homme qui ne doutait jamais de la nature, qui plantait et replantait à foison.
Ceux qui connaissent déjà Jean Teulé à travers Le Montespan ou Mangez-le si vous voulez, ses livres précédents, savent qu'il n'écrit pas des romans historiques convenus glorifiant notre flamboyant passé. Jean Teulé n'est pas un conteur dont les récits seraient peuplés de personnages raffinés, d'élégants palais ou de fêtes fastueuses. Les rois de France sont dégénérés, les gens de cour sont vulgaires, le Louvre est sale et vétuste. Jean Teulé n'est pas non plus un historien tatillon se piquant de relater les hauts faits de nos ancêtres, les grandes batailles et autres évènements édifiants qui peuplent les manuels scolaires. Il préfère visiblement fouiner dans les coulisses putrides de l'histoire et la mauvaise conscience de ceux qui l'ont faite.
En 2009, nous célébrons à la fois l'Année Mondiale de l'Astronomie et les 445 ans de Galilée. A cette occasion, l'astrophysicien Jean-Pierre Luminet publie le troisième volume de sa tétralogie dédiée aux "Bâtisseurs du ciel". Le dernier tome, intitulé "La perruque de Newton", paraîtra prochainement aux éditions Lattès.
Jean-Pierre Luminet, astrophysicien et directeur de recherche au CNRS, a entrepris de nous restituer par la voie romanesque, l'histoire des hommes qui ont changé notre vision du Cosmos, ceux qu'ils appellent les Bâtisseurs du ciel.
Titre: Mattéo t1, première période (1914-1915)
Auteur: Jean-Pierre Gibrat
Editeur: Futuropolis
Année: 2008
Pages: 63
Aristarque de Samos, Ptolémée, Copernic, Brahé, Kepler, Galilée, Newton, Einstein... des génies qui ont révolutionné notre vision du Cosmos et qui l'ont parfois payé cher. Jean-Pierre Luminet, astrophysicien et romancier, s'attache à donner corps à ces hommes dans une série de romans dont le "Bâton Euclide" constitue un prologue et qui devrait s'achever avec une biographie de Newton. Premier tome des "Bâtisseurs du ciel", "Le secret de Copernic", n'est ni une biographie officielle ni un essai de vulgarisation mais un roman de « sensibilisation scientifique ».
Titre: 1630, la vengeance de Richelieu Auteur: Jean-Michel Riou Editeur: Flammarion Année: 2009 Pages: 440
Titre: L'énigme des Blancs-Manteaux Auteur: Jean-François Parot Editeur: 10/18 Année: 2001 Pages: 377
Titre: Les enfants de la terre, t3: Les chasseurs de mammouths Version originale: The Mammoths Hunters Auteur: Jean M. Auel Editeur: Pocket Année: 2008 (Réédition) Pages: 928
Titre: Les enfants de la terre, t2: La vallée des chevaux Version originale: The Valley of Horses Auteur: Jean M. Auel Editeur: Pocket Année: 2002 Pages: 704
Titre: Les enfants de la terre, t1: Le clan de l'ours des cavernes Version originale: The Clan of the Cave Bear Auteur: Jean M. Auel Editeur: Pocket Année: 2002 Pages: 544
Titre: Sauvez Ispahan Auteur: Jean-Christophe Rufin Editeur: Folio Année: 2000 Pages: 643
Titre: Le cri du peuple, t1: Les canons du 18 mars
Scénariste: Jean Vautrrin
Illustrateur: Jacques Tardi
Editeur: Casterman
Année: 2004
Pages: 80
Titre: Le Montespan Auteur: Jean Teulé Editeur: Pocket Année: 2009 Pages: 309
Ils ont pratiquement le même age et le même prénom, ils sont tous deux férus d'histoire, ils ont créés deux célèbres héros de romans policiers, ils publient chez le même éditeur, et ils ont commis autant de best-sellers... Jean-François Parot ("Le noyé du grand canal") et Jean d'Aillon ("La guerre des amoureuses" et "La ville qui n'aimait pas son Roi") ont publié simultanément de nouveaux titres cette année.
Pour Jean-Pierre Luminet, Isaac Newton (1643-1727) est, sans conteste, le dernier des grands Bâtisseurs du ciel. Mais une question le taraude néanmoins : qu'y-a-t-il sous la perruque dont le savant britannique est affublé sur les portraits officiels ? L'esprit d'un fou ou celui d'un génie ? Un ours pédant ou un être introverti ? Un obscurantiste perdu dans les méandres de l'Alchimie ou une sorte de messie dévoilant au monde les secrets de la philosophie naturelle... c'est-à-dire les sciences modernes? Un homme avec ses forces et ses faiblesses, sans aucun doute, mais surtout un bourreau de travail intuitif dont la seule maîtresse, peut-être, est la soif de connaissance.
Je pense que les amateurs de science-fiction n'ont pas besoin qu'on leur présente Jean-Pierre Andrevon, l'un des trop rares auteurs francophones du genre. Sa bibliographie étant plutôt imposante, je ne ferai pas non plus la liste de ses œuvres. On peut néanmoins rappeler qu'il a reçu le prestigieux Prix Julia Verlanger en 2006 pour Le Monde enfin. Qualifié d'écrivain militant, ce qu'il revendique volontiers, Jean-Pierre Andrevon ne limite pas son champ d'action à l'écriture et l'écologie, puisqu'il est également peintre et auteur-interprète. La Maison qui glissait est un récit d'anticipation, imbriqué dans un microcosme social ou plutôt une sorte de huit clos de l'horreur.
Cet ouvrage rassemble en fait trois bandes-dessinées qui sont sensées illustrer deux facettes du grand mythe américain. Si le peintre et illustrateur italien, Gabriele Gamberini, n'est pas très connu du public français, en revanche Maryse et Jean-François Charles ont une longue carrière derrière eux. Ils ont notamment signé le scénario des Pionniers Du Nouveau. Ils sont aussi les auteurs de plusieurs séries dont India Dreams, War and Dreams et Africa Dreams. En 2011, ils ont publié, en collaboration avec Gabriele Gamberini, un roman graphique intitulé Far Away (Glénat, 2011, 144 pages). Ce road movie avait déjà pour décor les paysages du Canada et des États-Unis.